One thought on “(Français) « Nommer un lieu, c’est se l’approprier » : la renaissance d’un quartier nommé Mile End

  • Kate McDonnell

    C’est vrai que mon père, un montréalais venu très jeune d’Angleterre mais avec des antécédents irlandais et catholiques, a toujours parlé des “années quand on a vécu dans St Michael’s” et jamais de Mile End. Il y a vécu de 1935 à 1955, à peu près.

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